Je m'appelle Marie. Je travaille dans une bibliothèque. J'écris des nouvelles et des romans.
Quand je dis que je suis écrivaine, je suis confrontée à trois types de réactions : les joyeux·ses enthousiastes, les silencieux·ses dubitatifs·ves, et celles et ceux qui me disent que je suis écrivain. Pas écrivaine, écrivain.
Du sempiternel débat sur la féminisation des mots qui furent déféminisées, et en réponse aux angoisses linguistiques de quelques indigné·e·s, j'ai décidé de créer ce blog, La Femme écrivaine. Juste pour être sûre.
Le but est de faire découvrir des autrices et des livres que j'aime ; je fais aussi quelques articles et chroniques, lesquelles j'espère, vous plairont.
J'ai obtenu un master recherche en cinéma grâce à un mémoire sur Portrait de la jeune fille en feu. Je l'aime beaucoup, et ce mémoire que j'ai écrit sur deux ans, contre vent et marée, me tient particulièrement à cœur.
Je suis chroniqueuse dans une émission de radio sur le cinéma, et sur les jeux de société, à Radio Campus Montpellier : vous pouvez m'écouter dans Amusez-vous bien ! le mercredi midi, et dans The Cinema Show le mercredi soir. A l'heure du repas, donc.
J'ai fait partie de l'association féministe Les Anémones, sur le campus de l'Université Paul Valéry de Montpellier : j'y ai animé un atelier d'écriture, on y a monté un ciné-club, et fais de très belles choses.
J'aime beaucoup les livres, et le cinéma. Petite, j'ai été marqué par l’œuvre de Claude Ponti, et sa douce nostalgie, sentiment que j'ai retrouvé plus tard chez Anne Brouillard. Et si je me suis forcée à lire lentement Le Seigneur des Anneaux pour ne pas gâcher mon plaisir, j'ai dévoré Les Hauts de Hurlevent, emporté par son lyrisme et sa dure mélancolie.
J'aime écrire du post-apo, de la dystopie, du young adult. Mais j'ai aussi des projets de livre-témoignage, d'un livre pour enfant, d'un recueil de nouvelles, et d'un livre de souvenirs. Je fais aussi de la photographie, à mes heures perdues. Et des films, à des heures moins perdues.
J'aime bien m'inventer des histoires, mais j'ai toujours peur de les raconter. Peut-être qu'un jour, vous pourrez les découvrir, si j'ai réussi quelque chose. En attendant, je vous livre un peu de mes réflexions, beaucoup de ma subjectivité, quelques-uns de mes sentiments. Si vous restez pour les lire, je vous en remercie.
Puisse ce projet vivre longtemps et en intéresser certain·e·s. La littérature, ça n'a pas de prix, sinon celui du temps. En tout les cas, merci à vous, et bonne lecture !
Marie
N'hésitez pas à m'envoyer vos œuvres, histoires, nouvelles, photographies, poèmes, chansons. Je me ferai un plaisir de vous publier !